Chapitre 2 : Partie théorique.
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Chapitre 2 : Partie théorique.
Chapitre 2 : Partie théorique.
I./ Les bases
Il existe deux méthodes d’application de la médicomagie (elles sont communes aux moldus) :
La méthode préventive : Il s’agit ici d’agir sur l’organisme avant l’arrivée du micro-organismes pathogènes (Dans les micro-organismes sont compris tout le monde, et pathogène se décompose ainsi : « pathos », le mal), c’est-à-dire en prévision de l’arrivée des maux.On peut également citer l’ortie comme méthode préventive. En effet, l’ortie favorisant la digestion, la respiration et étant bénéfique pour les systèmes cardiaque et urinaire, elle peut donc prévenir à toutes sortes de problèmes dans ces zones du corps et est donc de « méthode préventive ».
On peut citer comme exemple de méthode préventive le vaccin contre la Dragoncelle. (inventé par Gunhilda de Gorsemoor)
Avant d’être malade, on est infecté par des micro-organismes pathogènes (bactérie, virus, pore, etc). Lorsque ce micro-organisme rentre dans le corps, il s’agit de la contamination. Il s’agit de « l’infection » les micro-organismes présents dans le corps se multiplient.
La méthode curative : Il s’agit ici de soigner la cible une fois qu’elle a subi une blessure, une maladie ou tout autre mal pouvant être soigné à l’aide de la médicomagie. Cette méthode est bien plus utilisée que la méthode préventive, puisqu’il est plus simple de soigner une maladie que de la prévenir.
II./ Médecine moldu, les différences avec la médecine magique
La différence majeure entre la médecine moldu et médicomagie, c’est que les moldus ont besoin de visualiser, de quelque manière que ce soi, la blessure pour pouvoir la soigner. Ils doivent donc avoir recours à une forme de médecine appelée chirurgie, dans la majorité des cas. Elle consiste à opérer le patient de manière directe sur son corps à l’aide d’outils tranchants (scalpel par exemple). Ces techniques présentent bien sur des risques comme des infections, mauvaise réaction du corps du patient et j’en passe.
Manière, aux yeux de beaucoup de sorciers, très barbare et arriéré mais aux résultats très satisfaisant concernant beaucoup de pathologies.
Les nouvelles technologies moldus leur ont permis d’évoluer au niveau de la manière de traiter les malades, grâce notamment au scanner (radio et IRM,…) qui permet de visualiser de manière assez précise les différentes parties du corps, même internes. Et d’obtenir des résultats.
La médecine magique quant à elle utilise d’autres moyens, tel que les sortilèges, les potions et bien sûr les plantes. Leurs interventions ne nécessitent aucun contact physique en profondeur.
III./ Système immunitaire sorcier
La présence de magie dans le corps même du sorcier (et non seulement dans sa baguette) permet durant l’enfance de déceler si un enfant née de parent moldus ou même un enfant de parent sorciers est apte ou non à la pratiquer et à apprendre à s’en servir et à la contrôler.
En quoi est-ce important ? C’est essentiel car un être doté de pouvoir magique est également en possession de la vieille magie qui vous protège instinctivement sans que parfois vous ne le sachiez. Cette vieille magie peut être influencée par votre entourage s’il est en mesure de la contrôler et qu’il la connaît suffisamment bien. Dans tous les cas, cette magie est présente dans le corps de tout sorcier présentant des capacités magiques et c’est là que ça devient important en matière de médicomagie.
Il y a certain catalyseur de magie comme la baguette du sorcier (nous parlerons donc de magie moderne), les émotions fortes qui peuvent déclencher involontairement une réaction que l’on rencontre surtout chez les jeunes sorciers qui ne maîtrisent pas encore leurs pouvoirs (la vieille magie).
Lorsqu’un médicomage interagit avec le corps d’un malade, celui-ci doit faire face à cette barrière magique qui peut s’avérer parfois très difficile, voire dangereuse dans de rare cas, à franchir, le corps faisant barrage instinctivement grâce à cette magie innée et imprévisible.
Vous apprendrez donc l’importance de la concentration et de la volonté lorsque vous aurez à soigner un malade sorcier. Sans cette profonde volonté mentale de traverser la barrière magique, les efforts d’un médicomage peuvent parfois s’avérer inutiles ou même néfastes pour le patient si pratiquer avec peu de rigueur.
I./ Les bases
Il existe deux méthodes d’application de la médicomagie (elles sont communes aux moldus) :
La méthode préventive : Il s’agit ici d’agir sur l’organisme avant l’arrivée du micro-organismes pathogènes (Dans les micro-organismes sont compris tout le monde, et pathogène se décompose ainsi : « pathos », le mal), c’est-à-dire en prévision de l’arrivée des maux.On peut également citer l’ortie comme méthode préventive. En effet, l’ortie favorisant la digestion, la respiration et étant bénéfique pour les systèmes cardiaque et urinaire, elle peut donc prévenir à toutes sortes de problèmes dans ces zones du corps et est donc de « méthode préventive ».
On peut citer comme exemple de méthode préventive le vaccin contre la Dragoncelle. (inventé par Gunhilda de Gorsemoor)
Avant d’être malade, on est infecté par des micro-organismes pathogènes (bactérie, virus, pore, etc). Lorsque ce micro-organisme rentre dans le corps, il s’agit de la contamination. Il s’agit de « l’infection » les micro-organismes présents dans le corps se multiplient.
La méthode curative : Il s’agit ici de soigner la cible une fois qu’elle a subi une blessure, une maladie ou tout autre mal pouvant être soigné à l’aide de la médicomagie. Cette méthode est bien plus utilisée que la méthode préventive, puisqu’il est plus simple de soigner une maladie que de la prévenir.
II./ Médecine moldu, les différences avec la médecine magique
La différence majeure entre la médecine moldu et médicomagie, c’est que les moldus ont besoin de visualiser, de quelque manière que ce soi, la blessure pour pouvoir la soigner. Ils doivent donc avoir recours à une forme de médecine appelée chirurgie, dans la majorité des cas. Elle consiste à opérer le patient de manière directe sur son corps à l’aide d’outils tranchants (scalpel par exemple). Ces techniques présentent bien sur des risques comme des infections, mauvaise réaction du corps du patient et j’en passe.
Manière, aux yeux de beaucoup de sorciers, très barbare et arriéré mais aux résultats très satisfaisant concernant beaucoup de pathologies.
Les nouvelles technologies moldus leur ont permis d’évoluer au niveau de la manière de traiter les malades, grâce notamment au scanner (radio et IRM,…) qui permet de visualiser de manière assez précise les différentes parties du corps, même internes. Et d’obtenir des résultats.
La médecine magique quant à elle utilise d’autres moyens, tel que les sortilèges, les potions et bien sûr les plantes. Leurs interventions ne nécessitent aucun contact physique en profondeur.
III./ Système immunitaire sorcier
La présence de magie dans le corps même du sorcier (et non seulement dans sa baguette) permet durant l’enfance de déceler si un enfant née de parent moldus ou même un enfant de parent sorciers est apte ou non à la pratiquer et à apprendre à s’en servir et à la contrôler.
En quoi est-ce important ? C’est essentiel car un être doté de pouvoir magique est également en possession de la vieille magie qui vous protège instinctivement sans que parfois vous ne le sachiez. Cette vieille magie peut être influencée par votre entourage s’il est en mesure de la contrôler et qu’il la connaît suffisamment bien. Dans tous les cas, cette magie est présente dans le corps de tout sorcier présentant des capacités magiques et c’est là que ça devient important en matière de médicomagie.
Il y a certain catalyseur de magie comme la baguette du sorcier (nous parlerons donc de magie moderne), les émotions fortes qui peuvent déclencher involontairement une réaction que l’on rencontre surtout chez les jeunes sorciers qui ne maîtrisent pas encore leurs pouvoirs (la vieille magie).
Lorsqu’un médicomage interagit avec le corps d’un malade, celui-ci doit faire face à cette barrière magique qui peut s’avérer parfois très difficile, voire dangereuse dans de rare cas, à franchir, le corps faisant barrage instinctivement grâce à cette magie innée et imprévisible.
Vous apprendrez donc l’importance de la concentration et de la volonté lorsque vous aurez à soigner un malade sorcier. Sans cette profonde volonté mentale de traverser la barrière magique, les efforts d’un médicomage peuvent parfois s’avérer inutiles ou même néfastes pour le patient si pratiquer avec peu de rigueur.
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